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Site du Département de l'Hérault

21 févr. 2020

Thématiques Environnement Sports & Loisirs

Magnifique terrain de jeu pour les sports et loisirs de pleine nature, l’Hérault est l’endroit rêvé pour pratiquer la slackline. Une discipline en plein essor, aussi variée que nos paysages.

« La highline, c’est aussi une quête de l’esthétisme » s’émerveille Salomé, 300 mètres au-dessus du vide - Crédit photo : JEJULEZPHOTOGRAPHY

« Quelques heures de pratique suffisent pour arriver à trouver son équilibre et faire quelques pas. Ensuite, cela devient vite addictif ! », promet Cédric Bosch, un Héraultais qui pratique la slackline depuis 4 ans. La discipline est née en Californie, dans les années 80. Proche du funambulisme, elle consiste à marcher sur une sangle souple, tendue entre deux arbres. Dans les parcs, comme au Domaine d’O, à Montpellier, les lignes ont tendances à être courtes et assez proches du sol. Plusieurs associations proposent aussi des initiations en salle, comme à la halle de sport de Prades-le-Lez. S’inspirant des sports urbains, certains "slackers" ajoutent à l’exercice des sauts acrobatiques.

D’autres préfèrent gravir des sommets, pour tendre des "highlines" entre deux falaises. « La pratique en pleine nature permet de créer des ponts avec d’autres activités, comme la randonnée et l’escalade. Dans l’Hérault, nous avons la chance de battre des records dans des espaces somptueux, comme dans les Gorges de l’Hérault ou au-dessus du Cirque de Navacelles », s’exclame Cédric. Seules contraintes : ne pas avoir peur du vide, et respecter les sites traversés.

Pas touche aux aiglons ! « Encadrée et sécurisée, la pratique de la highline se veut aussi écoresponsable, prévient Cédric. Dans la Vallée de l’Hérault, nous travaillons en étroite collaboration avec les chargés de mission Natura 2000, pour que nos lignes ne gênent pas la nidification des rapaces ».

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