Ici, la solidarité c’est un choix
29 mars 2022
La crise sanitaire a creusé les inégalités et révélé le rôle de première ligne des départements auprès des plus vulnérables. Dans l’Hérault, la majorité départementale agit pour une société plus solidaire et pour que chaque habitant, quels que soient son origine, sa condition ou son lieu de résidence, bénéficie des mêmes chances.
Enfants, jeunes parents, collégiens, personnes en situation de chômage, de précarité, de handicap, séniors en perte d’autonomie et aidants ont un point en commun : tous peuvent compter sur le Département.
L’Hérault innove pour améliorer le quotidien de ses habitants et lutter contre la pauvreté : en réduisant la durée d’accès aux droits, en luttant contre la fracture numérique grâce à des dispositifs innovants ou faire du Lodévois un territoire zéro chômeur de longue durée.
Un appui avec des spécialistes de la puériculture est proposé aux familles, afin d’enrichir l’approche des parents dans leur relation avec leur enfant. Quand les enfants lui sont confiés, le Département met tout en œuvre pour qu’ils puissent vivre dans un cadre sécurisant et bienveillant et les accompagne afin de leur apporter tout le soutien nécessaire pour construire un projet de vie basé sur l’autonomie. Il agit en faveur des personnes en situation de handicap et des séniors notamment en favorisant leur maintien à domicile notamment par la promotion et le développement de l’habitat inclusif.
Le Département, collectivité de proximité
Favoriser l’accès aux droits et l’accompagnement de tous les Héraultais et particulièrement les plus fragiles, sont les deux objectifs au cœur des politiques publiques portées par le Département. Une volonté permanente de ne laisser personne au bord du chemin s’enfermer dans ses difficultés. Pour ce faire, le département au travers de ses 6 maisons départementales des Solidarités (MDS) déploie 36 services départementaux (SDS) des solidarités qui maillent tout le territoire et permettent à chacun un accès de proximité aux services du Département près de son domicile.
Pour les soins des jeunes enfants, la PMI est présente partout, notamment grâce à son bus qui se déplace jusque dans les communes les plus éloignées.
80 collèges publics, et 3 de plus d’ici 2024, permettent aux jeunes d’apprendre dans les meilleures conditions.
Et pour garantir une même offre de service et d’équipement sur tout le territoire, le Département est le premier financeur des projets des communes : maisons de santé, fibre optique, aménagements pour maintenir le lien social, les commerçants, mairie, bureau de poste et écoles communales, routes et aires de covoiturage… Le Département garantit à tous les Héraultais les mêmes chances de travailler, grandir, vieillir.
Un tremplin pour les citoyens
« Entre ses rendez-vous médicaux et les activités pour le stimuler, j’ai dû arrêter de travailler pour m’occuper de mon fils, âgé de 3 ans et porteur de trisomie 21. Grâce au Département, via la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH), je peux bénéficier d’une prestation de compensation du handicap de mon fils, qui couvre en partie ma perte de revenus. Cette aide couvre aussi les coûts liés aux nombreux trajets pour les consultations d’Imran et finance une partie de la micro-crèche où il va une journée par semaine. Nous bénéficions également d’un assistant de vie scolaire (AVS) qui le rassure beaucoup lorsqu’il est à l’école, trois demi-journées par semaine. Sans ce soutien, il serait plus compliqué pour Imran d’aller en classe et pour nous d’assumer tous les frais liés à son handicap. » Sonia El Ghrabli, maman d’Imran
« Je dois être constamment présent auprès de ma femme Maria, qui ne peut se déplacer à 79 ans. Je fais les courses, les repas, je m’occupe aussi du linge, c’est fatigant. Le Département, par l’intermédiaire de la Maison Départementale de l’Autonomie (MDA) a accordé à mon épouse une allocation personnalisée d’autonomie (APA). Elle nous permet de financer une aide à domicile 55h par mois, même le week-end. Elle s’occupe du ménage et accompagne mon épouse au quotidien. Une infirmière passe tous les jours pour aider Maria à se lever, se laver et s’habiller. L’APA m’offre aussi une aide au répit de temps en temps, qui me permet de m’absenter ou de me reposer. C’est un soutien précieux, sans lequel nous ne pourrions pas continuer de vivre tous les deux chez nous. » Joao Fernandes, mari aidant
« Mère au foyer avec 7 enfants, j’ai consacré ma vie à ma famille : courses, entretien de la maison, éducation de mes enfants… Quand mon mari a dû arrêter son activité pour raison de santé, j’ai sollicité l’aide du Département pour un accompagnement professionnel afin de débuter une carrière à 49 ans ! J’étais timide et stressée à l’idée de ne pas y arriver. Les personnes qui m’ont accompagnée m’ont donné confiance. Le Département m’a orientée vers la Ligue de l’enseignement à Roujan : après un essai en cuisine, j’ai intégré l’atelier réemploi textile, où j’étais couturière pendant 2 ans. Puis je me suis formée pour devenir assistante de vie aux familles avec un complément pour m’occuper des personnes handicapées. Aujourd’hui, je suis en CDI à temps partiel au sein de l’entreprise d’insertion la Main de Jeanne et j’aide 5 personnes âgées, afin qu’elles puissent vivre le plus longtemps possible chez elles. J’augmenterai bientôt mes heures, car se sentir utile, recevoir leur sourire me donne du courage ! " Nadjet Chouit, nouvelle active
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